ULHIEL
Mieczyslaw Adamovitch ( Dix-neuf ans ) Russe - Homme.
Miecyslaw Adamovitch est un gamin hyperactif probablement un poil trop porté sur les sourires, les blagues et tout ce qui s'en suis. Il laisse libre court à ses émotions sans honte aucune, riant comme si rien ne pouvait l'atteindre, souriant comme s'il était capable de voir la beauté même dans le plus affreux des crimes. Constamment, ses pupilles bien trop vertes semblent être animée d'une vie qui leurs est propre, tellement qu'il n'en demeure que plus captivant encore. Tout ce qu'il semble penser, passe dans son regard, passe par les mots, sans tabou. Il dit ce qu'il pense et ce, sans filtre. Peut-être aussi parce que son débit de parole semble intarissable. Il parle. Encore. Encore et toujours sans donner l'impression d'avoir à reprendre son souffle, histoire de ne pas bêtement mourir d'asphyxie. Et lorsqu'il s'arrête enfin, ses interlocuteurs sont généralement perdu dans cette suite de mots sans queues ni tête, dénudé de tout sens commun.
Pourtant, là, devant vos yeux se tient l'ancien Exécuteur - tueur à gage - de la mafia rouge « Bratva ». Un pas, puis deux en arrière et votre vision change.
Enfant, Mieczyslaw fut élevé dans le but seul d'exécuter les basses besognes du BigBoss de la mafia russe. Ses mains sont, sans conteste, pleines de sang, vestige des innombrables meurtres qu'il perpétua tout au long de son adolescence, tenu par ses obligations de Fils-de-bras-Droit. Jamais il n’éprouva le moindre regret, le moindre dégoût, la moindre pitié. Sa fidélité sans borne envers ce grand Patron fit qu'il se débarrassa sans sourciller de sa propre famille. Hélas, ce dernier en s'apercevant que son Exécuteur était devenu bien trop « doué » tenta de l'éliminer, sans hésitation aucune. Mieczyslaw dû sa survit à cette femme qui ramassa son presque-cadavre dans les eaux de l'Abakan, le soigna avant de l’exiler aux US, dans la ville de NY, sous prétexte qu'elle y avait des « connaissances ».
Nouveau gang. Nouvelle-vie. Myeczyslaw n'est pourtant pas décidé à changer quoique ce soit. Il continu à jouer de sa belle gueule, de ses sourires et de ses éclats de rire, pour mieux endormir les soupçons.
+ Le tatouage attestant son appartenance à la Bratva se trouve au dessus de son cœur et est la raison pour laquelle il ne se dénude jamais.
+ Les multiples cicatrices zébrant sa peau pâle en est la seconde raison.
+ Il est bipolaire.
+ Une hirondelle orne fièrement son cou, symbole d'une liberté Utopique qu'il sait inatteignable.