rehsaan
[Habib - c’est ton nom de famille. Ammon Asim Jabari. Ton nom. Celui de ton père. Celui de ton grand-père. Ammon Asim Jabari Habib. Ton nom complet. Tu l’aimes bien. Il chante bien. The hidden one, the invisible. Ammon, quoi.]
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Âge |
Vingt-quatre ans, t’es née en 1999, un 4 novembre, signe d’eau, petit scorpion que voilà.
Cursus |
Toi ? Oh, toi, c’est l’archéologie. Depuis tout petit, papa t’achetait des “Trouve les trésors !” où tu devais gratter avec des petits outils un sol sableux, et y découvrir une tête de dinosaure, un vase ancien, et bien des choses. Tu as toujours aimé fouiller la terre : pour ce qu’elle renferme, pour ce qu’on y connaît, pour tout ce qu’on ignore. Les secrets de la Terre, les secrets d’Ammon. Tu as, dans votre maison, plus précisément dans ta chambre, une bien grande collection de trucs, de machins, terreux, anciens, abîmés, qui ne brillent qu’à travers tes yeux, et ceux d’initiés. Grand poète, Ammon, te voilà qui trouve des douces mélodies dans leurs courbures abîmées par le temps, dans les fissures du vent, l’érosion de l’eau, le sable incrusté.
Bref, toi, Ammon, tu fais de l’archéologie - un jour.
Nationalité |
Tu es né au Pays de Galles - sinon vous seriez pas Ducs du Pays de Galle par chez vous. Mais maman est Égyptienne, alors t’es tiraillé entre deux nationalités. britannico-égyptien. C’est quelque chose qui se voit peu. T’en es terriblement fier, de cette deuxième partie. Tu parles arabe, par ailleurs, t’as toujours tenu à apprendre. Et tu parles le traditionnel gallois, aussi - même si c’est un peu moins naturel pour toi
Ammon Asim Jabari Habib
Caractère |
Observateur - singulier - espiègle - malin - énigmatiques - secret - posé - ni très bavard ni très silencieux, ni gentil ni forcément mauvais - attentif - tu analyses les gens - souriant (doucement, peu importe les réactions, peu importe les comportements) - mélancolique - poète - amoureux des belles phrases, des beaux mots, des beaux idéaux - volatile - doux - sans concession - impartial - indéchiffrable - terriblement franc (quand on insiste) - stratège - studieux - **libre** - égaré - passionné.
Parfois, maladroit - disgracieux - mal à l’aise - animé - en colère - triste - sensible - étrange.
Que la grâce te touche, qu’elle t’embrasse, que ta passion t’embrase, Ammon. Ton visage est calme, mais ton esprit est une tempête animée, par tout ce qui est “beau”, par tout ce qui est “imparfait”. Car là réside ton amour.
Il est sensible, attentif, observateur, amoureux, passionné. Son silence est un cri de rage, ses soupirs des cris de protestation. Il suffit juste de l’avoir bien l’interpréter.
Papa est duc, maman une actrice de grande renommée, surtout par chez vous - en Egypte. Une star, en fait. Et tu l'admire terriblement. Tu les admire tous les deux, oh, oui. Mais surtout votre mère. Elle brille tellement, elle.
Vous vivez au Pays de Galles, vous. Vous êtes de la “Haute”, comme on dit. En clair, vous êtes riches, vous êtes bien apprêtés, mais surtout, vous êtes nobles. Et ça, ça crée toujours un petit décalage avec les autres. T’as pas les mêmes réflexes que tout le monde, et ça brouille un peu l’empathie, parfois, ce monde.
Heureusement, tu as tes frères et soeurs. Qui sont toute une flopée. Vous êtes une **nombreuse**. C’est rien de le dire. Ils sont ta raison de bouger, ta raison d’avancer, de faire les choses au mieux. Pour eux, t’essaies d’être meilleur, plus ouvert, plus sensible plus attentif aux autres. Notamment pour Nour, qui est ici avec toi. Loin de toi l’idée de faire office de piteux exemple. M’enfin. Tu restes toi, Ammon. Tu n’es jamais bien irréprochable, et c’est pour ça qu’on t’aime bien (selon les gens).
Oh, tu joues de la musique, aussi - de la guitare. Et tu chantes. T’en feras pas vraiment ton métier, parce que t’es bien trop amoureux de l’archéologie, mais il t’arrive de choper une guitare ou un piano (t’en as fait quand t’étais petit, de tout ça, pareil que le violon) et de pousser quelques notes. Et t’as une sacrée belle voix - au lycée t’étais dans un groupe de musique d’ailleurs, mais vous avez arrêté quand tout le monde est parti dans son coin.